Y a-t-il une race humaine raciste par rapport à une ou d'autres ?

L'histoire contemporaine et la situation du monde montrent que les rapports humains ne furent pas égaux. Une race humaine ou un peuple raciste a exercé et continue d'exercer sa supériorité sur d'autres peuples pendant des temps quasiment géologiques sous prétexte qu'il a le droit de vie, de mort ou de civilisation sur ces peuples grâce à son génie du mal : les armes et l'argent.

L'histoire qui vous est présentée ci-dessous vous permettra d'en tirer des conclusions.
Une jeune femme noire mineure fut déracinée de son territoire pour être "animalisée". Cette injure abominable de la femme noire est indigne au sein de l'espèce humaine !
Cette femme noire aux formes généreuses ne les a pas choisies, elle était née avec. La beauté d'une femme noire c'est justement ses formes (Interview d'une sculptrice amoureuse des formes des femmes africaines) qu'on ne retrouve chez aucune autre femme. La cambrure ou la courbure lombaire (lordose) plus ou moins accentuée des vertèbres lombaires, l'abondance des cellules adipeuses et leur exceptionnelle capacité à capter et stocker les graisses dans cette région postérieure (fesses) et des cuisses lui donnent sa beauté et indirectement sa grâce, contrairement aux fesses "plates" des femmes des régions non africaines !
Oui Mlle Sarah Baartman fut une exagération de la Nature ou de Dieu de la beauté de la femme noire ! Combien d'époux aurait-elle eu à sa maturité grâce à ce charme !
Hélàs ! encore hélàs le racisme eut raison sur son sort !

La "Vénus hottentote"

La célèbre « Vénus hottentote » de son vrai nom Saartjie (Sarah) Baartman naquit il y a 214 ans dans la vallée de la Gamtoos, zone de l’Afrique du sud-est alors colonisée. Issue de l’ethnie des Koïsans, elle attira l’attention d’un médecin de la marine britannique en raison d’une morphologie propre à ses origines (postérieur très saillant, organes sexuels protubérants). Elle est emmenée en 1810, alors âgée de 16 ans, par cet homme qui l’avait convaincu qu’elle ferait fortune en montrant son corps au européens. En Angleterre puis à Paris, elle fut exhibée comme un monstre de foire : elle se retrouva dans une cage à Picadilly (Angleterre), défila dans des salons, des foires et mourut dans la misère et la prostitution en 1815.
Là commence l’histoire de sa dépouille...

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